Les 3 piliers de l'avocat connecté

Ce guide est à destination des avocats indépendants qui n'ont pas encore optimisé la présence de leur cabinet sur internet.

Pilier 1 : La fiche Google Business

Pilier 1 : La fiche Google Business

Pilier 1 : La fiche Google Business

Pourquoi la fiche Google est-elle si importante ?

Si je commence par la fiche Google Business, ce n’est pas pour rien. C’est ce que j’appelle un “quick win” pour les avocats. En clair, le temps que vous allez y passer est largement compensé par les opportunités qu’elle peut générer. Quand quelqu’un tape “avocat + votre ville” ou “avocat divorce + votre ville”, ce n’est pas votre site qu’il voit en premier, ce sont quelques fiches de cabinets que Google met en avant sur une carte. Votre objectif est de faire en sorte d’être dans ce petit groupe, et que, parmi ces quelques noms, le vôtre donne envie d’appeler. Pour beaucoup de prospects, votre fiche sera le tout premier contact avec vous. Avant même de cliquer sur votre site, ils voient votre nom, votre note moyenne, vos horaires, un numéro et votre photo. En quelques secondes, ils se font une idée de votre sérieux et si votre fiche est vide, approximative ou pas à jour, vous ratez des opportunités.

Comment créer ou revendiquer votre fiche ?

La première chose à faire est de prendre la main sur votre fiche. Dans certains cas, Google l’a déjà créée pour vous. Pour le savoir, tapez le nom de votre cabinet dans Google. Si une fiche apparaît sur le côté ou sur la carte, regardez s’il y a un lien pour dire que vous êtes le propriétaire de l’établissement. Si oui, suivez la procédure de validation. Dans la plupart des cas, c’est à vous de créer la fiche. Pour ça, passez par le site “fiche d'établissement Google” et suivez les étapes. Renseignez le nom exact du cabinet, la catégorie “Avocat”, l’adresse complète, votre numéro de téléphone pro, l’adresse de votre site si vous en avez déjà un et vos horaires.

Comment optimiser sa fiche Google Business ?

Pour votre description, préférez parler directement à votre cible plutôt qu’écrire une phrase généraliste. Par exemple, remplacez : “Avocats en droit du travail inscrit au barreau de Caen”, par “J’accompagne les salariés et les employeurs en droit du travail à Caen : licenciement, harcèlement, rupture conventionnelle, contentieux prud’homal.” Vous pouvez aussi préciser vos services ou domaines, avec un vocabulaire proche de celui de vos clients, indiquer les zones que vous desservez, les langues parlées, la possibilité de rendez-vous à distance. Plus la fiche est claire, concrète et complète, plus vous augmentez vos chances d’apparaître quand quelqu’un cherche un avocat dans votre domaine et dans votre ville. Mais l’enjeu n’est pas seulement d’apparaître, c’est aussi de rassurer. La personne qui vous trouve sur Google veut voir à qui elle a affaire. Quelques photos suffisent : une photo professionnelle de vous, le logo, la salle d’attente ou le bureau et éventuellement la façade du cabinet. L’idée est que votre prospect se dise : “Ok, je vois l’endroit, ça a l’air sérieux, je peux y aller.” Vous pouvez aussi utiliser les questions-réponses pour anticiper les demandes pratiques : aide juridictionnelle, déroulement d’un premier rendez-vous, rendez-vous en visio, etc.

Comment gérer les avis ?

La question des avis est toujours délicate pour un avocat, mais elle est devenue impossible à ignorer. Quelques avis bien rédigés, laissés par des clients satisfaits, rassurent énormément. Dans le respect de vos règles déontologiques, vous pouvez en parler à certains clients à la fin d’un dossier, surtout quand ils vous remercient spontanément. Le message peut être simple : s’ils le souhaitent, ils peuvent laisser un avis sur Google et ça aidera d’autres personnes à franchir le pas. L’important est de rester naturel. Ne dictez pas le texte et répondez de manière courte, professionnelle et bienveillante. En cas d’avis négatif, souvenez-vous que vous ne pouvez pas parler du fond. Vous pouvez exprimer votre regret et proposer un échange direct. Géré de cette manière, le bloc “Avis” devient un levier de confiance, pas un piège.

Pourquoi la fiche Google est-elle si importante ?

Si je commence par la fiche Google Business, ce n’est pas pour rien. C’est ce que j’appelle un “quick win” pour les avocats. En clair, le temps que vous allez y passer est largement compensé par les opportunités qu’elle peut générer. Quand quelqu’un tape “avocat + votre ville” ou “avocat divorce + votre ville”, ce n’est pas votre site qu’il voit en premier, ce sont quelques fiches de cabinets que Google met en avant sur une carte. Votre objectif est de faire en sorte d’être dans ce petit groupe, et que, parmi ces quelques noms, le vôtre donne envie d’appeler. Pour beaucoup de prospects, votre fiche sera le tout premier contact avec vous. Avant même de cliquer sur votre site, ils voient votre nom, votre note moyenne, vos horaires, un numéro et votre photo. En quelques secondes, ils se font une idée de votre sérieux et si votre fiche est vide, approximative ou pas à jour, vous ratez des opportunités.

Comment créer ou revendiquer votre fiche ?

La première chose à faire est de prendre la main sur votre fiche. Dans certains cas, Google l’a déjà créée pour vous. Pour le savoir, tapez le nom de votre cabinet dans Google. Si une fiche apparaît sur le côté ou sur la carte, regardez s’il y a un lien pour dire que vous êtes le propriétaire de l’établissement. Si oui, suivez la procédure de validation. Dans la plupart des cas, c’est à vous de créer la fiche. Pour ça, passez par le site “fiche d'établissement Google” et suivez les étapes. Renseignez le nom exact du cabinet, la catégorie “Avocat”, l’adresse complète, votre numéro de téléphone pro, l’adresse de votre site si vous en avez déjà un et vos horaires.

Comment optimiser sa fiche Google Business ?

Pour votre description, préférez parler directement à votre cible plutôt qu’écrire une phrase généraliste. Par exemple, remplacez : “Avocats en droit du travail inscrit au barreau de Caen”, par “J’accompagne les salariés et les employeurs en droit du travail à Caen : licenciement, harcèlement, rupture conventionnelle, contentieux prud’homal.” Vous pouvez aussi préciser vos services ou domaines, avec un vocabulaire proche de celui de vos clients, indiquer les zones que vous desservez, les langues parlées, la possibilité de rendez-vous à distance. Plus la fiche est claire, concrète et complète, plus vous augmentez vos chances d’apparaître quand quelqu’un cherche un avocat dans votre domaine et dans votre ville. Mais l’enjeu n’est pas seulement d’apparaître, c’est aussi de rassurer. La personne qui vous trouve sur Google veut voir à qui elle a affaire. Quelques photos suffisent : une photo professionnelle de vous, le logo, la salle d’attente ou le bureau et éventuellement la façade du cabinet. L’idée est que votre prospect se dise : “Ok, je vois l’endroit, ça a l’air sérieux, je peux y aller.” Vous pouvez aussi utiliser les questions-réponses pour anticiper les demandes pratiques : aide juridictionnelle, déroulement d’un premier rendez-vous, rendez-vous en visio, etc.

Comment gérer les avis ?

La question des avis est toujours délicate pour un avocat, mais elle est devenue impossible à ignorer. Quelques avis bien rédigés, laissés par des clients satisfaits, rassurent énormément. Dans le respect de vos règles déontologiques, vous pouvez en parler à certains clients à la fin d’un dossier, surtout quand ils vous remercient spontanément. Le message peut être simple : s’ils le souhaitent, ils peuvent laisser un avis sur Google et ça aidera d’autres personnes à franchir le pas. L’important est de rester naturel. Ne dictez pas le texte et répondez de manière courte, professionnelle et bienveillante. En cas d’avis négatif, souvenez-vous que vous ne pouvez pas parler du fond. Vous pouvez exprimer votre regret et proposer un échange direct. Géré de cette manière, le bloc “Avis” devient un levier de confiance, pas un piège.

Pourquoi la fiche Google est-elle si importante ?

Si je commence par la fiche Google Business, ce n’est pas pour rien. C’est ce que j’appelle un “quick win” pour les avocats. En clair, le temps que vous allez y passer est largement compensé par les opportunités qu’elle peut générer. Quand quelqu’un tape “avocat + votre ville” ou “avocat divorce + votre ville”, ce n’est pas votre site qu’il voit en premier, ce sont quelques fiches de cabinets que Google met en avant sur une carte. Votre objectif est de faire en sorte d’être dans ce petit groupe, et que, parmi ces quelques noms, le vôtre donne envie d’appeler. Pour beaucoup de prospects, votre fiche sera le tout premier contact avec vous. Avant même de cliquer sur votre site, ils voient votre nom, votre note moyenne, vos horaires, un numéro et votre photo. En quelques secondes, ils se font une idée de votre sérieux et si votre fiche est vide, approximative ou pas à jour, vous ratez des opportunités.

Comment créer ou revendiquer votre fiche ?

La première chose à faire est de prendre la main sur votre fiche. Dans certains cas, Google l’a déjà créée pour vous. Pour le savoir, tapez le nom de votre cabinet dans Google. Si une fiche apparaît sur le côté ou sur la carte, regardez s’il y a un lien pour dire que vous êtes le propriétaire de l’établissement. Si oui, suivez la procédure de validation. Dans la plupart des cas, c’est à vous de créer la fiche. Pour ça, passez par le site “fiche d'établissement Google” et suivez les étapes. Renseignez le nom exact du cabinet, la catégorie “Avocat”, l’adresse complète, votre numéro de téléphone pro, l’adresse de votre site si vous en avez déjà un et vos horaires.

Comment optimiser sa fiche Google Business ?

Pour votre description, préférez parler directement à votre cible plutôt qu’écrire une phrase généraliste. Par exemple, remplacez : “Avocats en droit du travail inscrit au barreau de Caen”, par “J’accompagne les salariés et les employeurs en droit du travail à Caen : licenciement, harcèlement, rupture conventionnelle, contentieux prud’homal.” Vous pouvez aussi préciser vos services ou domaines, avec un vocabulaire proche de celui de vos clients, indiquer les zones que vous desservez, les langues parlées, la possibilité de rendez-vous à distance. Plus la fiche est claire, concrète et complète, plus vous augmentez vos chances d’apparaître quand quelqu’un cherche un avocat dans votre domaine et dans votre ville. Mais l’enjeu n’est pas seulement d’apparaître, c’est aussi de rassurer. La personne qui vous trouve sur Google veut voir à qui elle a affaire. Quelques photos suffisent : une photo professionnelle de vous, le logo, la salle d’attente ou le bureau et éventuellement la façade du cabinet. L’idée est que votre prospect se dise : “Ok, je vois l’endroit, ça a l’air sérieux, je peux y aller.” Vous pouvez aussi utiliser les questions-réponses pour anticiper les demandes pratiques : aide juridictionnelle, déroulement d’un premier rendez-vous, rendez-vous en visio, etc.

Comment gérer les avis ?

La question des avis est toujours délicate pour un avocat, mais elle est devenue impossible à ignorer. Quelques avis bien rédigés, laissés par des clients satisfaits, rassurent énormément. Dans le respect de vos règles déontologiques, vous pouvez en parler à certains clients à la fin d’un dossier, surtout quand ils vous remercient spontanément. Le message peut être simple : s’ils le souhaitent, ils peuvent laisser un avis sur Google et ça aidera d’autres personnes à franchir le pas. L’important est de rester naturel. Ne dictez pas le texte et répondez de manière courte, professionnelle et bienveillante. En cas d’avis négatif, souvenez-vous que vous ne pouvez pas parler du fond. Vous pouvez exprimer votre regret et proposer un échange direct. Géré de cette manière, le bloc “Avis” devient un levier de confiance, pas un piège.

Pilier 2 : Le profil LinkedIn

Pourquoi LinkedIn est un levier pour un avocat libéral ?

Vos clients potentiels y sont déjà et vos prescripteurs aussi. On y retrouve des dirigeants, des DRH, des responsables d’équipe, des experts-comptables, des notaires, des coachs… bref, beaucoup de gens qui peuvent, soit avoir besoin de vous, soit parler de vous. LinkedIn vient compléter parfaitement ce que vous faites avec votre fiche Google et votre site internet. La fiche Google vous donne une visibilité locale, votre site explique votre activité en détail et LinkedIn vous permet de rester présent dans l’esprit de votre réseau. Vous pouvez y montrer comment vous travaillez, comment vous expliquez les choses et créer un lien de confiance avant même le premier rendez-vous.

Comment poser les bases d’un profil clair ?

Je vois souvent des profils d’avocats sur LinkedIn qui ressemblent à des cartes grises. Photo austère, bannière vide, titre flou. Pourtant, il suffit de peu de choses pour faire mieux. Une photo de profil propre, lumineuse, professionnelle, déjà, ça change tout. Ensuite, la bannière est le meilleur endroit pour rappeler ce que vous faites. Par exemple, “Avocat en droit du travail à Caen” ou “Avocate en droit de la famille – divorces, garde d’enfants, pensions”. Pour la biographie (sous votre nom), je vous conseille d’être plus concret et direct que pour la bannière. Exemple : “Avocat en droit du travail à Caen – j’accompagne salariés et employeurs dans leurs relations de travail”, ou “Avocate en droit du travail – j’aide les salariés à défendre leurs droits face à leur employeur”. Le message devient immédiatement plus clair et votre prospect s’identifie plus facilement. La section “À propos” n’a pas besoin d’être longue. Vous pouvez simplement partir des situations que vivent vos clients, expliquer ce que vous faites pour eux, donner quelques repères sur votre expérience sans dérouler tout votre CV, puis indiquer comment vous contacter (LinkedIn, site, téléphone). En quelques lignes, on doit comprendre à qui vous vous adressez, ce que vous faites et comment vous travaillez.

Comment avoir toujours des idées de contenu ?

Avec la méthode Organa, vous ne cherchez plus vos idées de posts au hasard. Vous partez d’un cadre très simple : d’abord, vous choisissez trois sujets clés qui sont au cœur de votre pratique. Ensuite, pour chacun de ces sujets, vous utilisez toujours les mêmes six formats de post. Les trois sujets vous évitent de vous disperser, et les six formats vous donnent une structure : vous savez à l’avance quel type de contenu vous allez produire, il ne reste plus qu’à remplir avec votre expertise. Par exemple, en droit de la famille, vos trois sujets clés peuvent être : “Divorce et séparation”, “Garde des enfants et pension alimentaire” et “Succession et héritage”. Rien qu’avec ces trois thèmes, vous couvrez déjà la majorité des questions que vos clients vous posent au quotidien. Pour chacun de ces sujets, vous allez ensuite décliner les six mêmes formats de posts. Avec trois sujets et six formats, vous obtenez déjà 18 idées de posts. 1) D’abord, le “tuto”, où vous expliquez une démarche étape par étape, par exemple : “Les 5 étapes clés pour engager une procédure de divorce”. 2) Ensuite, les posts “conseils”, du type : “3 astuces pour bien gérer la pension alimentaire”. 3) Vous pouvez aussi parler des erreurs à éviter, comme “Les erreurs courantes qui compliquent une succession”. 4) Vous avez aussi les coulisses, où vous montrez simplement comment vous travaillez, sans entrer dans les détails d’un dossier : “Comment un avocat prépare un dossier de divorce”. 5) Viennent ensuite les réponses aux questions ou objections que vous entendez souvent : “Un divorce à l’amiable est-il vraiment plus rapide qu’un divorce contentieux ?”. 6) Et, enfin, les posts où vous présentez clairement vos services, par exemple : “Comment je vous accompagne pour organiser votre succession”. Avec trois sujets et six formats, vous obtenez déjà 18 idées de posts.

Comment développer son réseau sur LinkedIn ?

Sur LinkedIn, la tentation, c’est de rester entre avocats. On commente les posts des confrères, on échange entre juristes, et au final, on parle surtout à des gens qui n’auront jamais besoin de nos services. Il faut garder en tête une chose simple : même si vous êtes très connectés à vos confrères et consœurs sur ce réseau, vos contenus, eux, s’adressent d’abord à vos clients et à vos prescripteurs. Concrètement, dès que vous rencontrez quelqu’un dans votre activité, vous pouvez le rechercher sur LinkedIn et lui envoyer une demande de connexion avec un message très court : “Bonjour, nous avons échangé à propos de [sujet], ravi de rester en contact ici.” Ce réflexe simple, répété chaque semaine, construit un réseau réellement utile. Les confrères feront naturellement partie de votre réseau, et c’est très bien, mais quand vous écrivez un post ou que vous acceptez une invitation, posez-vous toujours la question : “Est-ce que cela me rapproche de mes clients ou de quelqu’un qui peut me recommander ?”

Pourquoi LinkedIn est un levier pour un avocat libéral ?

Vos clients potentiels y sont déjà et vos prescripteurs aussi. On y retrouve des dirigeants, des DRH, des responsables d’équipe, des experts-comptables, des notaires, des coachs… bref, beaucoup de gens qui peuvent, soit avoir besoin de vous, soit parler de vous. LinkedIn vient compléter parfaitement ce que vous faites avec votre fiche Google et votre site internet. La fiche Google vous donne une visibilité locale, votre site explique votre activité en détail et LinkedIn vous permet de rester présent dans l’esprit de votre réseau. Vous pouvez y montrer comment vous travaillez, comment vous expliquez les choses et créer un lien de confiance avant même le premier rendez-vous.

Comment poser les bases d’un profil clair ?

Je vois souvent des profils d’avocats sur LinkedIn qui ressemblent à des cartes grises. Photo austère, bannière vide, titre flou. Pourtant, il suffit de peu de choses pour faire mieux. Une photo de profil propre, lumineuse, professionnelle, déjà, ça change tout. Ensuite, la bannière est le meilleur endroit pour rappeler ce que vous faites. Par exemple, “Avocat en droit du travail à Caen” ou “Avocate en droit de la famille – divorces, garde d’enfants, pensions”. Pour la biographie (sous votre nom), je vous conseille d’être plus concret et direct que pour la bannière. Exemple : “Avocat en droit du travail à Caen – j’accompagne salariés et employeurs dans leurs relations de travail”, ou “Avocate en droit du travail – j’aide les salariés à défendre leurs droits face à leur employeur”. Le message devient immédiatement plus clair et votre prospect s’identifie plus facilement. La section “À propos” n’a pas besoin d’être longue. Vous pouvez simplement partir des situations que vivent vos clients, expliquer ce que vous faites pour eux, donner quelques repères sur votre expérience sans dérouler tout votre CV, puis indiquer comment vous contacter (LinkedIn, site, téléphone). En quelques lignes, on doit comprendre à qui vous vous adressez, ce que vous faites et comment vous travaillez.

Comment avoir toujours des idées de contenu ?

Avec la méthode Organa, vous ne cherchez plus vos idées de posts au hasard. Vous partez d’un cadre très simple : d’abord, vous choisissez trois sujets clés qui sont au cœur de votre pratique. Ensuite, pour chacun de ces sujets, vous utilisez toujours les mêmes six formats de post. Les trois sujets vous évitent de vous disperser, et les six formats vous donnent une structure : vous savez à l’avance quel type de contenu vous allez produire, il ne reste plus qu’à remplir avec votre expertise. Par exemple, en droit de la famille, vos trois sujets clés peuvent être : “Divorce et séparation”, “Garde des enfants et pension alimentaire” et “Succession et héritage”. Rien qu’avec ces trois thèmes, vous couvrez déjà la majorité des questions que vos clients vous posent au quotidien. Pour chacun de ces sujets, vous allez ensuite décliner les six mêmes formats de posts. Avec trois sujets et six formats, vous obtenez déjà 18 idées de posts. 1) D’abord, le “tuto”, où vous expliquez une démarche étape par étape, par exemple : “Les 5 étapes clés pour engager une procédure de divorce”. 2) Ensuite, les posts “conseils”, du type : “3 astuces pour bien gérer la pension alimentaire”. 3) Vous pouvez aussi parler des erreurs à éviter, comme “Les erreurs courantes qui compliquent une succession”. 4) Vous avez aussi les coulisses, où vous montrez simplement comment vous travaillez, sans entrer dans les détails d’un dossier : “Comment un avocat prépare un dossier de divorce”. 5) Viennent ensuite les réponses aux questions ou objections que vous entendez souvent : “Un divorce à l’amiable est-il vraiment plus rapide qu’un divorce contentieux ?”. 6) Et, enfin, les posts où vous présentez clairement vos services, par exemple : “Comment je vous accompagne pour organiser votre succession”. Avec trois sujets et six formats, vous obtenez déjà 18 idées de posts.

Comment développer son réseau sur LinkedIn ?

Sur LinkedIn, la tentation, c’est de rester entre avocats. On commente les posts des confrères, on échange entre juristes, et au final, on parle surtout à des gens qui n’auront jamais besoin de nos services. Il faut garder en tête une chose simple : même si vous êtes très connectés à vos confrères et consœurs sur ce réseau, vos contenus, eux, s’adressent d’abord à vos clients et à vos prescripteurs. Concrètement, dès que vous rencontrez quelqu’un dans votre activité, vous pouvez le rechercher sur LinkedIn et lui envoyer une demande de connexion avec un message très court : “Bonjour, nous avons échangé à propos de [sujet], ravi de rester en contact ici.” Ce réflexe simple, répété chaque semaine, construit un réseau réellement utile. Les confrères feront naturellement partie de votre réseau, et c’est très bien, mais quand vous écrivez un post ou que vous acceptez une invitation, posez-vous toujours la question : “Est-ce que cela me rapproche de mes clients ou de quelqu’un qui peut me recommander ?”

Pourquoi LinkedIn est un levier pour un avocat libéral ?

Vos clients potentiels y sont déjà et vos prescripteurs aussi. On y retrouve des dirigeants, des DRH, des responsables d’équipe, des experts-comptables, des notaires, des coachs… bref, beaucoup de gens qui peuvent, soit avoir besoin de vous, soit parler de vous. LinkedIn vient compléter parfaitement ce que vous faites avec votre fiche Google et votre site internet. La fiche Google vous donne une visibilité locale, votre site explique votre activité en détail et LinkedIn vous permet de rester présent dans l’esprit de votre réseau. Vous pouvez y montrer comment vous travaillez, comment vous expliquez les choses et créer un lien de confiance avant même le premier rendez-vous.

Comment poser les bases d’un profil clair ?

Je vois souvent des profils d’avocats sur LinkedIn qui ressemblent à des cartes grises. Photo austère, bannière vide, titre flou. Pourtant, il suffit de peu de choses pour faire mieux. Une photo de profil propre, lumineuse, professionnelle, déjà, ça change tout. Ensuite, la bannière est le meilleur endroit pour rappeler ce que vous faites. Par exemple, “Avocat en droit du travail à Caen” ou “Avocate en droit de la famille – divorces, garde d’enfants, pensions”. Pour la biographie (sous votre nom), je vous conseille d’être plus concret et direct que pour la bannière. Exemple : “Avocat en droit du travail à Caen – j’accompagne salariés et employeurs dans leurs relations de travail”, ou “Avocate en droit du travail – j’aide les salariés à défendre leurs droits face à leur employeur”. Le message devient immédiatement plus clair et votre prospect s’identifie plus facilement. La section “À propos” n’a pas besoin d’être longue. Vous pouvez simplement partir des situations que vivent vos clients, expliquer ce que vous faites pour eux, donner quelques repères sur votre expérience sans dérouler tout votre CV, puis indiquer comment vous contacter (LinkedIn, site, téléphone). En quelques lignes, on doit comprendre à qui vous vous adressez, ce que vous faites et comment vous travaillez.

Comment avoir toujours des idées de contenu ?

Avec la méthode Organa, vous ne cherchez plus vos idées de posts au hasard. Vous partez d’un cadre très simple : d’abord, vous choisissez trois sujets clés qui sont au cœur de votre pratique. Ensuite, pour chacun de ces sujets, vous utilisez toujours les mêmes six formats de post. Les trois sujets vous évitent de vous disperser, et les six formats vous donnent une structure : vous savez à l’avance quel type de contenu vous allez produire, il ne reste plus qu’à remplir avec votre expertise. Par exemple, en droit de la famille, vos trois sujets clés peuvent être : “Divorce et séparation”, “Garde des enfants et pension alimentaire” et “Succession et héritage”. Rien qu’avec ces trois thèmes, vous couvrez déjà la majorité des questions que vos clients vous posent au quotidien. Pour chacun de ces sujets, vous allez ensuite décliner les six mêmes formats de posts. Avec trois sujets et six formats, vous obtenez déjà 18 idées de posts. 1) D’abord, le “tuto”, où vous expliquez une démarche étape par étape, par exemple : “Les 5 étapes clés pour engager une procédure de divorce”. 2) Ensuite, les posts “conseils”, du type : “3 astuces pour bien gérer la pension alimentaire”. 3) Vous pouvez aussi parler des erreurs à éviter, comme “Les erreurs courantes qui compliquent une succession”. 4) Vous avez aussi les coulisses, où vous montrez simplement comment vous travaillez, sans entrer dans les détails d’un dossier : “Comment un avocat prépare un dossier de divorce”. 5) Viennent ensuite les réponses aux questions ou objections que vous entendez souvent : “Un divorce à l’amiable est-il vraiment plus rapide qu’un divorce contentieux ?”. 6) Et, enfin, les posts où vous présentez clairement vos services, par exemple : “Comment je vous accompagne pour organiser votre succession”. Avec trois sujets et six formats, vous obtenez déjà 18 idées de posts.

Comment développer son réseau sur LinkedIn ?

Sur LinkedIn, la tentation, c’est de rester entre avocats. On commente les posts des confrères, on échange entre juristes, et au final, on parle surtout à des gens qui n’auront jamais besoin de nos services. Il faut garder en tête une chose simple : même si vous êtes très connectés à vos confrères et consœurs sur ce réseau, vos contenus, eux, s’adressent d’abord à vos clients et à vos prescripteurs. Concrètement, dès que vous rencontrez quelqu’un dans votre activité, vous pouvez le rechercher sur LinkedIn et lui envoyer une demande de connexion avec un message très court : “Bonjour, nous avons échangé à propos de [sujet], ravi de rester en contact ici.” Ce réflexe simple, répété chaque semaine, construit un réseau réellement utile. Les confrères feront naturellement partie de votre réseau, et c’est très bien, mais quand vous écrivez un post ou que vous acceptez une invitation, posez-vous toujours la question : “Est-ce que cela me rapproche de mes clients ou de quelqu’un qui peut me recommander ?”

Pilier 3 : Le site internet

À quoi sert vraiment votre site d’avocat ?

Pour finir, on parle de l’outil qui peut faire peur mais qui est pourtant très précieux. Il a 3 principales utilités : D’abord, à augmenter votre visibilité en ligne : apparaître quand quelqu’un cherche “avocat divorce [ville]” ou “avocat licenciement [ville]”. Si c’est référencement (SEO) est bien réalisé, c’est un levier très efficace. Ensuite, à donner une image claire et professionnelle de votre cabinet : en quelques secondes, la personne doit comprendre que vous êtes sérieux et accessible. Enfin, à faciliter la prise de rendez-vous avec des appels à l’action qui maximisent la conversion. Un site brouillon, mal adapté au mobile, ou qui semble figé depuis dix ans inspire peu confiance. À l’inverse, un site simple, propre, avec des textes lisibles et une structure claire rassure tout de suite. L’idée, c’est d’avoir un site qui travaille pour vous, même quand vous êtes en audience.

Comment organiser un site que vos clients comprennent ?

Un bon site d’avocat n’a pas besoin de dizaines de pages. Une structure simple suffit largement. D’abord une page d’accueil qui présente à qui vous vous adressez et vos principaux domaines d’intervention. En quelques lignes, la personne doit savoir si elle est au bon endroit. Ensuite, des pages dédiées à vos grands domaines : droit du travail, droit de la famille, droit pénal, etc. Chaque page explique comment vous intervenez dans ces domaines et pourquoi vous êtes l’avocat compétent à contacter. Une page “Le cabinet” pour présenter votre parcours, votre manière de travailler, vos valeurs. Et une page “Contact” qui rassemble toutes les informations pratiques : coordonnées, formulaire, plan d’accès. Si vous écrivez des articles ou des contenus, vous pouvez ajouter une rubrique “Actualités”, mais ce n’est pas obligatoire pour démarrer. L’essentiel, c’est que votre site soit facile à comprendre pour vos clients. Si un non-juriste s’y retrouve, Google s’y retrouvera aussi.

Quel type de contenu aide vraiment votre référencement ?

Pour que votre site remonte sur des recherches comme “avocat + problème + ville”, vous n’avez pas besoin de devenir un expert en référencement. Vous avez surtout besoin de parler le langage de vos clients. Eux ne tapent pas “rupture du contrat de travail”, ils tapent “licenciement abusif”, “contester un licenciement”, “harcèlement au travail”. Ils ne tapent pas “dissolution du mariage”, ils tapent “divorce amiable”, “garde des enfants”, “pension alimentaire”. Sur vos pages, vous pouvez reprendre ces expressions, tout en restant juridiquement correct. Vous expliquez les grandes lignes, les étapes, les points de vigilance. Vous ne donnez pas tous les scénarios possibles, vous ne détaillez pas toutes les exceptions, vous restez à un niveau compréhensible. C’est suffisant pour aider Google à comprendre sur quoi vous êtes pertinent et pour donner confiance à la personne qui lit.

Faut-il tout faire seul ou déléguer son site ?

Beaucoup d’avocats me disent qu’ils vont faire leur site eux-mêmes ou qu’ils regardent des solutions comme Wix. Ma réponse est assez simple : pourquoi pas. Si votre objectif est d’avoir une présence minimale en ligne, avec une page qui présente le cabinet, vos coordonnées et quelques lignes, c’est une option qui tient la route. Vous aurez une sorte de carte de visite numérique, sans aller plus loin. En revanche, si vous considérez que votre site doit être un vrai outil de développement du cabinet, la question de déléguer commence à se poser. Là, l’idée est de travailler avec quelqu’un qui va penser le site pour vos clients, pour Google et pour la conversion des visiteurs en rendez-vous. Vous gagnez du temps, vous gagnez en clarté, et vous partez sur des bases plus solides.

À quoi sert vraiment votre site d’avocat ?

Pour finir, on parle de l’outil qui peut faire peur mais qui est pourtant très précieux. Il a 3 principales utilités : D’abord, à augmenter votre visibilité en ligne : apparaître quand quelqu’un cherche “avocat divorce [ville]” ou “avocat licenciement [ville]”. Si c’est référencement (SEO) est bien réalisé, c’est un levier très efficace. Ensuite, à donner une image claire et professionnelle de votre cabinet : en quelques secondes, la personne doit comprendre que vous êtes sérieux et accessible. Enfin, à faciliter la prise de rendez-vous avec des appels à l’action qui maximisent la conversion. Un site brouillon, mal adapté au mobile, ou qui semble figé depuis dix ans inspire peu confiance. À l’inverse, un site simple, propre, avec des textes lisibles et une structure claire rassure tout de suite. L’idée, c’est d’avoir un site qui travaille pour vous, même quand vous êtes en audience.

Comment organiser un site que vos clients comprennent ?

Un bon site d’avocat n’a pas besoin de dizaines de pages. Une structure simple suffit largement. D’abord une page d’accueil qui présente à qui vous vous adressez et vos principaux domaines d’intervention. En quelques lignes, la personne doit savoir si elle est au bon endroit. Ensuite, des pages dédiées à vos grands domaines : droit du travail, droit de la famille, droit pénal, etc. Chaque page explique comment vous intervenez dans ces domaines et pourquoi vous êtes l’avocat compétent à contacter. Une page “Le cabinet” pour présenter votre parcours, votre manière de travailler, vos valeurs. Et une page “Contact” qui rassemble toutes les informations pratiques : coordonnées, formulaire, plan d’accès. Si vous écrivez des articles ou des contenus, vous pouvez ajouter une rubrique “Actualités”, mais ce n’est pas obligatoire pour démarrer. L’essentiel, c’est que votre site soit facile à comprendre pour vos clients. Si un non-juriste s’y retrouve, Google s’y retrouvera aussi.

Quel type de contenu aide vraiment votre référencement ?

Pour que votre site remonte sur des recherches comme “avocat + problème + ville”, vous n’avez pas besoin de devenir un expert en référencement. Vous avez surtout besoin de parler le langage de vos clients. Eux ne tapent pas “rupture du contrat de travail”, ils tapent “licenciement abusif”, “contester un licenciement”, “harcèlement au travail”. Ils ne tapent pas “dissolution du mariage”, ils tapent “divorce amiable”, “garde des enfants”, “pension alimentaire”. Sur vos pages, vous pouvez reprendre ces expressions, tout en restant juridiquement correct. Vous expliquez les grandes lignes, les étapes, les points de vigilance. Vous ne donnez pas tous les scénarios possibles, vous ne détaillez pas toutes les exceptions, vous restez à un niveau compréhensible. C’est suffisant pour aider Google à comprendre sur quoi vous êtes pertinent et pour donner confiance à la personne qui lit.

Faut-il tout faire seul ou déléguer son site ?

Beaucoup d’avocats me disent qu’ils vont faire leur site eux-mêmes ou qu’ils regardent des solutions comme Wix. Ma réponse est assez simple : pourquoi pas. Si votre objectif est d’avoir une présence minimale en ligne, avec une page qui présente le cabinet, vos coordonnées et quelques lignes, c’est une option qui tient la route. Vous aurez une sorte de carte de visite numérique, sans aller plus loin. En revanche, si vous considérez que votre site doit être un vrai outil de développement du cabinet, la question de déléguer commence à se poser. Là, l’idée est de travailler avec quelqu’un qui va penser le site pour vos clients, pour Google et pour la conversion des visiteurs en rendez-vous. Vous gagnez du temps, vous gagnez en clarté, et vous partez sur des bases plus solides.

À quoi sert vraiment votre site d’avocat ?

Pour finir, on parle de l’outil qui peut faire peur mais qui est pourtant très précieux. Il a 3 principales utilités : D’abord, à augmenter votre visibilité en ligne : apparaître quand quelqu’un cherche “avocat divorce [ville]” ou “avocat licenciement [ville]”. Si c’est référencement (SEO) est bien réalisé, c’est un levier très efficace. Ensuite, à donner une image claire et professionnelle de votre cabinet : en quelques secondes, la personne doit comprendre que vous êtes sérieux et accessible. Enfin, à faciliter la prise de rendez-vous avec des appels à l’action qui maximisent la conversion. Un site brouillon, mal adapté au mobile, ou qui semble figé depuis dix ans inspire peu confiance. À l’inverse, un site simple, propre, avec des textes lisibles et une structure claire rassure tout de suite. L’idée, c’est d’avoir un site qui travaille pour vous, même quand vous êtes en audience.

Comment organiser un site que vos clients comprennent ?

Un bon site d’avocat n’a pas besoin de dizaines de pages. Une structure simple suffit largement. D’abord une page d’accueil qui présente à qui vous vous adressez et vos principaux domaines d’intervention. En quelques lignes, la personne doit savoir si elle est au bon endroit. Ensuite, des pages dédiées à vos grands domaines : droit du travail, droit de la famille, droit pénal, etc. Chaque page explique comment vous intervenez dans ces domaines et pourquoi vous êtes l’avocat compétent à contacter. Une page “Le cabinet” pour présenter votre parcours, votre manière de travailler, vos valeurs. Et une page “Contact” qui rassemble toutes les informations pratiques : coordonnées, formulaire, plan d’accès. Si vous écrivez des articles ou des contenus, vous pouvez ajouter une rubrique “Actualités”, mais ce n’est pas obligatoire pour démarrer. L’essentiel, c’est que votre site soit facile à comprendre pour vos clients. Si un non-juriste s’y retrouve, Google s’y retrouvera aussi.

Quel type de contenu aide vraiment votre référencement ?

Pour que votre site remonte sur des recherches comme “avocat + problème + ville”, vous n’avez pas besoin de devenir un expert en référencement. Vous avez surtout besoin de parler le langage de vos clients. Eux ne tapent pas “rupture du contrat de travail”, ils tapent “licenciement abusif”, “contester un licenciement”, “harcèlement au travail”. Ils ne tapent pas “dissolution du mariage”, ils tapent “divorce amiable”, “garde des enfants”, “pension alimentaire”. Sur vos pages, vous pouvez reprendre ces expressions, tout en restant juridiquement correct. Vous expliquez les grandes lignes, les étapes, les points de vigilance. Vous ne donnez pas tous les scénarios possibles, vous ne détaillez pas toutes les exceptions, vous restez à un niveau compréhensible. C’est suffisant pour aider Google à comprendre sur quoi vous êtes pertinent et pour donner confiance à la personne qui lit.

Faut-il tout faire seul ou déléguer son site ?

Beaucoup d’avocats me disent qu’ils vont faire leur site eux-mêmes ou qu’ils regardent des solutions comme Wix. Ma réponse est assez simple : pourquoi pas. Si votre objectif est d’avoir une présence minimale en ligne, avec une page qui présente le cabinet, vos coordonnées et quelques lignes, c’est une option qui tient la route. Vous aurez une sorte de carte de visite numérique, sans aller plus loin. En revanche, si vous considérez que votre site doit être un vrai outil de développement du cabinet, la question de déléguer commence à se poser. Là, l’idée est de travailler avec quelqu’un qui va penser le site pour vos clients, pour Google et pour la conversion des visiteurs en rendez-vous. Vous gagnez du temps, vous gagnez en clarté, et vous partez sur des bases plus solides.

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Ce guide est à destination des avocats indépendants qui n'ont pas encore optimisé la présence de leur cabinet sur internet.

Introduction

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